Petit rappel, avant, on avait ça (attention, ces images peuvent heurter la sensibilité de certains) :
AAAhhhhhhh!!!!!!
Ben oui, c'est très dur.
Sur la dernière image, on peut admirer avec quelle dextérité Boptissa prend un malin plaisir à arracher fébrilement cette #&"é"ç de frisette au chatoyant coloris (non mais comment peut-on choisir une couleur pareille de son plein gré? franchement?)
Bref, après le pasage jouissif du démontage, ça s'est gaté. Sous la frisette, au mur, rien, au plafond, plaques de 4cm de polystyrène maintenues ensemble par de la mousse expansée (il faut savoir que les anciens proprios avaient manifestement des actions dans la mousse expansée. notre maison tient entièrement sur de la mousse expansée, où que tu regardes, y'en a).
Bon, on a compris pourquoi il faisait froid dans cette pièce.
Donc on arrache le polystyrène.
Et on découvre notre splendide charpente. O joie.
Et on met à nu les subtilités de notre installation électrique. O joie II (le retour).
Et je vous épargne le gros plan sur les 2 chevrons pourris à la base, juste sous le velux, sources de quelques heures de déprime profonde.
Avant, il y avait une vieile lucarne du moyen-âge qui fuyait et qu'on a fait remplacer par Laurent notre couvreur. Pour les chevrons pourris, il dit que c'est pas grave (ok...) il avait vu (ah?) et il a fait en sorte que le velux ne s'appuie pas sur ces chevrons (très bien... on y croit... on est contents).